Chères consœurs, chers confrères,
Je vous écris aujourd'hui pour vous sensibiliser à notre cause commune, celle de la protection de notre profession de pharmacien.
En effet, je suis personnellement impliqué dans l'organisation d'un regroupement de pharmaciens mettant le patient au cœur de ses préoccupations: la Fédération des pharmaciens du Québec (FPQ). L'inscription des pharmaciens au sein de la FPQ est sur une base volontaire et individuelle.
Notre slogan: "Unir nos forces pour mieux intervenir".
La FPQ a pour mission de promouvoir la profession tout en améliorant l'image du pharmacien auprès de la population. La FPQ est l'unique organisation qui a la possibilité de représenter l'ensemble des 10 000 pharmaciens et étudiants en pharmacie. Tous les pharmaciens, actifs ou non, provenant de tous les milieux de pratique, ont la possibilité d'être membres puisque que cette cause nous touche tous.
La direction de la FPQ est inscrite au registre des Lobbyistes du Québec. Les portes du monde politique s'ouvrent enfin à nous. Ainsi, dans l'intérêt du patient, une promotion plus efficace de notre message se verra transmise au sein de la population.
De plus, la FPQ souligne que l'optimisation de la santé et l'intérêt des patients doivent
être défendus avec vigueur. Nous croyons profondément qu'une telle défense est possible en faisant reconnaître l'importance du rôle primordial du pharmacien, dans l'échiquier de la santé, tout en lui assurant une rémunération à sa juste valeur.
Aussi, sachez qu'en devenant membre, vous joignez un regroupement de pharmaciens dotés d'une attitude non-conformiste.
L’attitude conformiste est souvent un obstacle à l'expression et à la créativité. Toutefois, ce qui nous unit c'est justement cette liberté d'être et ce, sans jugement. Cette pleine liberté d'expression, empreinte de non-conformisme, nous permettra d'atteindre vigoureusement nos objectifs communs.
En conclusion, grâce à votre appui à la noble cause qui nous unit, la FPQ soufflera une bouffée d'air frais sur notre profession. Ce vent de fraîcheur repoussera les barrières et obstacles, auxquelles nous avons l'habitude de faire face. Le rayonnement de notre profession prendra enfin place.
En effet, il est grand temps de conférer au pharmacien la place décisionnelle de choix dans l'amélioration de notre système de santé. Non seulement cette position nous revient de droit, mais il en va de la survie de notre profession.
Chers amis, je vous attends dans la Famille de la FPQ. Joignez vos forces aux nôtres afin de défendre cette profession qui nous est si chère et surtout, n'oubliez pas qu'il faut "Unir nos forces pour mieux intervenir!"
Veuillez recevoir, très chers collègues, mes salutations les plus distinguées,
Nicolas Bergeron, pharmacien
Comment sauver des MILLIARDS?
Des solutions à appliquer!
En référence à l'article « Comment sauver des milliards? Votre pharmacien : votre sauveur! », le pharmacien peut grandement contribuer à soutenir l'économie québécoise. En effet, en augmentant de façon minime le nombre de consultations quotidiennes que le pharmacien effectue, notamment sur les médicaments de vente libre, il pourra grandement permettre une réduction des coûts en soin de santé.
Lors d'un sondage effectué à l'interne chez plus d'une centaine de membres de la Fédération des pharmaciens du Québec (FPQ), les données compilées révèlent une moyenne quotidienne d'environ 32 conseils par consultations sur les médicaments de vente libre en pharmacie. En augmentant quotidiennement d'aussi peu que de 5 à 10% (soit 2 consultations par jour) leur nombre de consultations sur les MVL, les pharmaciens du Québec permettront de faire sauver annuellement à l'État près de 1 MILLIARD de dollars en coût de santé (en présumant que les personnes ayant consulté un pharmacien n'iront pas ensuite à l'urgence d'un hôpital).
D'une part, il est primordial d'optimiser la performance du système de la santé tout en réduisant ses coûts. Une solution serait que les instances au pouvoir mettent davantage à contribution l'expertise des pharmaciens en leur permettent d'accomplir davantage d'actes pharmaceutiques sous la loi 41. Ainsi, en mettant à profit le plein potentiel des connaissances des pharmaciens, les médecins se verraient alors grandement déchargés de consultations pouvant être déléguées. Il en résulterait donc sune disponibilité accrue des médecins pour les patients nécessitant obligatoirement une consultation médicale.
D'autre part, l'utilisation des pharmaciens en milieu hospitalier doit être repensée. Conjointement avec l'infirmière, le pharmacien de l'urgence d'un hôpital pourrait participer au triage des patients. Également, l'infirmière du triage devrait avoir la possibilité de référé le patient soit au médecin de l'urgence, soit une au pharmacien de l’urgence (ou au pharmacien de garde durant la nuit). De plus, il est important de constater que plusieurs hôpitaux ont fait le choix d'inclure le pharmacien à l'équipe de l'urgence.
En effet, il a été démontré que le pharmacien contribue grandement à l'amélioration des thérapies et du services aux usagers. ****1
Une autre solution serait que le gouvernement investisse davantage dans les pharmacies communautaires en y rendant disponible des infirmières.
Ce concept innovateur en pharmacie communautaire je n'est pourtant pas si nouveau. En effet, on retrouve déjà dans les GMF des infirmières travaillant au côtés des médecins.
À l'instar des GMF, il serait profitable de rendre disponible à la population québécoise des infirmières dans les pharmacies communautaires. Une telle mesure permettrait une réduction des consultations médicales pouvant être délégués et ainsi réduire les coûts inutiles en frais de santé.
Les pharmacies sont ouvertes parfois plus de cent heures par semaine. Cela est autant d'heures durant lesquelles différentes interventions pourraient être effectuées par les pharmaciens.
Ces interventions pourront mener à la résolution d'une multitude de cas cliniques. Une telle mesure permettra de grandement réduire les coûts associé aux visite à l'urgence ou encore aux hospitalisations.
De plus, afin d'assurer une prise en charge plus globale et complète de la population québécoise, chaque pharmacie communautaire devrait être affiliée à un médecin généraliste ou une banque de médecins spécialistes selon un territoire donné.
Suite à la consultation auprès de l'équipe pharmacien-infirmiere de la pharmacie communautaire, le patient pourra si requis être référé au médecin.
Une telle mesure serait innovatrice. Elle permettrait une meilleure utilisation du praticien clinique tout en permettant une réduction notable des coûts reliés aux soins de santé.
Également, à court ou moyen terme, l'équipe pharmacien-infirmiere communautaire pourrait éventuellement superviser les patients avec des maladies chroniques (hypertension, diabète, dyslipidémie, asthme, MPOC) considérées stables depuis plus de trois mois consécutifs. Une telle mesure permettrait une meilleure utilisation du pharmacien et des infirmières, tout en déchargeant le médecin. Il est primordial de repenser à l'utilisation adéquate des différents praticiens de la santé. Il en résultera une meilleure accessibilité du médecin et une réduction notable des frais en soins de santé.
En somme, modifier les habitudes de consultations aux urgences pour les problèmes de santé mineurs (urgences mineures niveau 4 ou 5) devrait limiter grandement les dépenses en frais de santé. Le gouvernement devrait instaurer un règlement rendant obligatoire, pour tous les problèmes de santé mineurs, la consultation du pharmacien. Le patient devrait donc obligatoirement consulter le pharmacien pour les situations suivantes:
- recevoir un médicament, conseil adapté au problème de santé en cours
- recevoir une date de rendez-vous avec le médecin généraliste ou avec un des médecins spécialistes affilié à la pharmacie
- recevoir une référence médicale pour pouvoir se rendre directement à la salle d'urgence de l'hôpital le plus près.
En fait, il pourrait y avoir recommandation de consulter un pharmacien d’emblée pour tout problème de santé mineur suspecté. Le pharmacien pourrait alors suggérer le bon produit et prodiguer les conseils adaptés pour résoudre différents problèmes du patient. Par ailleurs, pour les patients requérant d'être examiné par un médecin, alors le pharmacien remettrait une référence écrite afin que l'usager obtienne un passage prioritaire dans une clinique de sans rendez-vous ou l'urgence d'un hôpital.
En conclusion, une réingénirie en profondeur de notre système de la santé doit naître.
Le contexte économique actuel conjugué à l'important problème d'accessibilité au médecin impose une réflexion quant à l'utilisation optimale et adéquate des différents praticiens. Pour le bénéfice de la population québécoise, il est primordiale de pleinement utiliser l'expertise du pharmacien.
Il en résultera une meilleure accessibilité des différentes ressources de santé, une réduction des coûts et ce, tout en respectant le libre-choix du patient.
Équipe de rédaction de la FPQ
Comment sauver des MILLIARDS?
Votre pharmacien : votre sauveur !
Cet article a été écrit dans l'optique de trouver une solution, une vraie, pour notre système de santé... Une vraie solution ne ressemblant pas à celles qui nous ont été proposées, miroitées ou imposées au cours des dernières années, voir des dernières décennies au Québec. La recherche d'une telle solution nous emmène inévitablement à réfléchir différemment, hors de la boite habituelle; à réfléchir distinctement de la façon dont ont pensé tous les médecins qui ont été ministre de la santé lors de la dernière décennie. En bref, en tant que pharmaciens et gens d'affaires, nous avons pensé analyser certaines données publiques et voici le résultats de nos découvertes...
Il est d'ordre public, mais semble ne jamais avoir déjà été rapporté de la façon qui suit, que le coût estimé annuel au Québec pour les patients qui voient l'infirmière au triage dans une salle d'urgence d'un hôpital mais qui quittent sans avoir vu le médecin est exorbitant. Il est d'environ 75_000_000$. Les données les plus récentes du ministère montrent qu'environ 11,1% des gens, se présentant aux urgences, quitteront avant même d'avoir rencontré un médecin: ils auront vu une infirmière au triage mais quitteront prématurément car seront trop souvent découragés par la longueur du temps d'attente pour voir le médecin. AUSSI, certains patients avouent qu'ils consultent à l'urgence pour pouvoir recevoir l'avis d'un professionnel de la santé sur leur situation et donc, après s'être fait confirmé la non dangerosité de leur cas, ils se sentent assez sécurisés pour retourner à leur domicile. De plus, cette gigantesque somme ne tient pas en compte des heures perdues et des journées d'ouvrage manqués, non plus de la baisse de revenus des gens ni de la baisse de productivité de notre société. Aussi, que dire des coûts de stationnement défrayés inutilement ... encore probablement d'autres centaines de milliers de dollars dépensés sans utilité aucune. Ces informations peuvent être déduites et calculées à partir des données suivantes :
- MSSS 2014-2015= 378 058 personnes ayant quitté la salle d'urgence AVANT d'avoir vu un médecin. Le total des consultations durant une période de un an entre 2014-2015 s'élève à un peu plus de 3 405 000 consultations ***1
- Coût du système pour une rencontre avec l' infirmière au triage dans un hôpital au Quebec est de 200$. ***2
- Coût estimé pour une seule rencontre avec un médecin SANS aucune intervention ou examens à passer est passé de 400$ en 2013 ***2 à plus ou moins 497,47$ en 2016. De plus, il est à noter que " Tous ces tarifs excluent les honoraires professionnels des médecins traitants". ***3
De plus, lorsque l'on regarde les données de 2012-2013, on apprend que des 3 423 238 visites annuelles aux urgences, près du 2/3 (soit 61,2%) le sont pour des urgences de niveaux 4 et 5, soient des urgences "moins urgentes" ou "non urgentes". ***4 Pour expliquer cette tendance, certains diront que le problème majeur est celui du manque d'accessibilité aux médecins de famille et que par conséquent, la population va dans les salles d'urgence. D'autres analystes avancent également ce fait, le reliant à l'offre insuffisante des cliniques de Sans-Rendez-Vous, devant supposément faciliter la consultation rapide d'un médecin En fait, des données de 2010-2011 montrent que 74% des personnes consultant les urgences pour des problèmes qu'eux-mêmes considèrent non urgents, le font car ils arrivent pas à trouver une clinique Sans-Rendez-Vous qui est ouverte et qui a un médecin pouvant les recevoir. ****** 5De plus, permettez moi de vous rappeler que malgré toutes ses bonnes idées, intentions et impositions de règlements et de lois, le ministre Barrette n'a pas réussi à améliorer grand chose dans l'accessibilité aux soins durant les deux dernières années.
Pour information, dans les raisons de consultations pour des niveaux 4 ou 5, nous pouvons citer en exemple: une réaction allergique mineure, une brûlure mineure, un mal de tête NON migraineux, un rhume, un épisode de constipation, des hémorroïdes, une grippe, une douleur menstruelle, une gastro-entérite ou une infection urinaire. ***6 ***7 ***8.
Sur un autre terrain, il est connu que, lorsqu'un pharmacien travaille aux urgences d'un hôpital, cela aide grandement à régler bon nombre des urgences mineures qui s'y présentent. Donc, chaque cas réglé par un pharmacien évite le besoin de triage et de consultation médicale entraînant ainsi une réduction des dépenses en santé.
Aussi, il est logique de penser que certains cas des 11% quittant prématurément les urgences nécessitent réellement une consultation médicale et qu'alors, des conséquences et problèmes de santé s'aggravant ainsi que des conclusions catastrophiques voire mortelles doivent arriver parfois. Quoi conclure d'autre que cela a assurément un coût pour notre société: un coût monétaire mais aussi un coût humain! En toute objectivité, en sommes-nous déjà rendu là? Devons-nous être confortables avec l'idée que cela se passe de la sorte et qu'ainsi soit-il? Pouvons-nous espérer des changements? À cela, la Fédération des pharmaciens du Québec propose une idée très simple: transférer le premier triage des urgences mineures en pharmacie.
En effet, les pharmaciens en officine font déjà plusieurs dizaines de consultations à tous les jours pour recommander à leur clients la sélection et l'utilisation adéquate des médicaments de vente libre (MVL) en lien avec leur problème de santé. Certaines pharmacies plus occupées font à chaque jour au-delà d'une centaine de ce type de consultations. En pharmacie, une multitude de problèmes de santé peuvent être traités sans nécessiter le besoin de voir un médecin: blessures mineures, problèmes mineurs de peau, verrue plantaire, cors et callosités, diarrhée, constipation, acné, hémorroïdes, rhume et grippe, insomnie, douleurs de presque toutes sortes, fièvre, besoin en vitamine ou arthrose... et j'en passe! Calculons maintenant combien d'argent pourrait-on sauver en consultant davantage les pharmaciens du Québec ... ou prenons à l'inverse combien de consultations seraient à transférer quotidiennement de la salle d'urgence vers la pharmacie pour sauver disons, 1_000_000_000$ - UN MILLIARD par année? Cela demanderait qu'environ 65% des urgences mineures de niveau de triage 4 ou 5 soit transférées annuellement en pharmacie. En somme, une autre façon plus simple de voir ces données serait de dire que pour environ 2 consultations PAR jour PAR pharmacie pour des urgences mineurs, alors que si ces 2 consultations passaient de l'urgence vers la pharmacie du coin, alors que les contribuables québécois sauverait 1_000_000_000$ par année et ce, en plus d'avoir un service plus rapide, de sauver de l'argent pour le stationnement, de manquer moins de jours à l'ouvrage, d'avoir un service à plus grande proximité géographique du lieu du domicile tout ça en obtenant le traitement et les conseils adéquats.
Aussi, les efforts faits par les différentes professions de la santé lors des dernières années l'ont été pour trouver comment améliorer l'accessibilité des soins. En ce qui concerne les pharmaciens, cela s'applique en surplus du fait que les pharmaciens semblent être les seuls pouvant aider à diminuer grandement les dépenses du gouvernement en santé.
Pour finir, les pharmaciens subissent déjà depuis plus d'un an et demi des diminutions de revenus avec les coupures que le ministre Barrette leur à imposées. Selon ce qui transparait des dires et agissements du gouvernement, d'autres lois et règlements ayant le même genre d'impact seraient à venir. Quoi penser en voyant le ministre Barrette continuer de s'acharner à diminuer ce que le ministère verse aux pharmaciens en honoraires c'est-à-dire moins de 1% du total des dépenses en santé? Sacher aussi qu'à nouveau dans le marché, les pharmaciens craignent avec raison de devoir faire d'autres compressions d'heures et de personnels en pharmacie. Cela aurait comme conséquence de compresser le volume de travail à faire et ainsi, diminuerait assurément la disponibilité du pharmacien. Donc, en plus qu'il ne serait alors plus possible de sauver à l'état des centaines de millions de dollars annuellement en augmentant le nombre de consultations faites pour des problèmes de santé, nous verrions apparaître probablement l'effet pervers suivant : les clients demandant conseil en pharmacie pourraient se décourager du plus long temps d'attente et alors pourraient décider de se choisir eux-mêmes sur tablette des médicaments de ventes libres. Pire encore au niveau des finances publiques, ils pourraient choisir d'aller consulter un médecin à l'urgence à l'hôpital. Gardons en tête que déjà au Quebec, une des raisons majeures d'hospitalisation est la mauvaise utilisation des médicaments et que cette même donnée se dégraderait logiquement davantage s'il y avait encore d'autres coupures en pharmacie. Aussi, que dire des coûts supplémentaires si jamais 2 ou 4 des quelques 30 à 100 consultations par jour en pharmacie pour achat d'un MVL décidaient d'aller à l'urgence d'un hôpital? Les dépenses supplémentaires du gouvernement pour le fonctionnement des salles d'urgences s'élèveraient annuellement alors de 1-2 MILLIARDS dollars...
En conclusion, le gouvernement à plus que TOUT à gagner à s'asseoir RÉELLEMENT avec les instances des pharmaciens pour ainsi utiliser le seul levier stratégique et économique disponible et prêt depuis hier dans le système de santé pour sauver des coûts gigantesques et sauver du coup, le système public au Québec.
Nicolas Bergeron
Président de la FPQ
Références :
***1 . Journal de Montréal
HÉLOÏSE ARCHAMBAULT
Mercredi, 13 mai 2015
Urgences: Les patients tellement tannés d'attendre qu'ils quittent sans voir un médecin
Plus d’un Québécois sur 10 quitte l’urgence de l’hôpital, exaspéré, avant d’avoir vu un médecin
***2 . Reportage de TVA Nouvelles
Publié le 25 février 2013 à 15 h 45
Auteur : Stéphane Tremblay
L’urgence du Centre hospitalier de Rivière-du-Loup déborde encore. Savez-vous combien coûte chaque patient à la société pour être admis et consulter un médecin à l’urgence? Des frais qui sont évidemment remboursés par la Régie de l’assurance-maladie du Québec à moins de ne pas avoir sa carte soleil.
Chaque fois qu’une personne franchit les portes d’une urgence au Québec ça coûte 200$ uniquement pour son inscription.
***3. http://www.hscm.ca/…/…/votre-arrivee/frais-dhospitalisation/
CISSS du Nord-de-l'Île-de-Montréal
Frais d'hospitalisation
Le régime québécois d'assurance hospitalisation pour les résidents
***4. Rapport du Commissaire a la Santé et au Bien-Être : Les Urgences au Quebec: évolution de 2003-2004 à 2012-2013.
***5. Institut de la Statistique du Québec. Enquête québécoise sur l'expérience de soins 2010-2011. L'hospitalisation et la consultation d'un médecin à l'urgence d'un hôpital : regard sur l'expérience vécue par les québécois. Volume 4. Tableau A2.
***6. ÉTG: L'échelle canadienne de triage & de gravité pour les départements d'urgence. Version datée du 17 decembre 1998.
***7. Attente à l'urgence: ce que vous devez savoir. / Protecteur du Citoyen
21 decembre 2015.
***8. Triage aux urgences / CHU de Québec-Université Laval.